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Sortir de la posture de victimisation

Dernière mise à jour : 13 mai

Et si on arrêtait de voir tout en noir ? (Spoiler : c’est possible)


Il y a des gens pour qui la vie ressemble à une succession d’obstacles insurmontables. Ceux qui voient toujours le verre à moitié vide, qui pensent que tout leur arrive à eux, comme si un nuage noir les suivait partout. Si tu te reconnais un peu (ou beaucoup) là-dedans, reste avec moi. On va en parler avec douceur, sans jugement.

Parce que non, tu n’es pas “négatif(ve)”, “pessimiste” ou “trop dramatique” par nature.

Et surtout, il existe des solutions pour changer de regard.


Pourquoi voit-on tout en noir ?


Avant de te demander “Pourquoi je suis comme ça ?”, sache une chose : personne ne naît en voyant la vie comme un drame permanent. Ce mode de pensée, cette posture de victime, vient souvent de blessures ou de traumas passés.


Voici quelques pistes pour comprendre :


1. Des expériences difficiles non digérées

Peut-être as-tu vécu des événements marquants qui t’ont laissé(e) avec cette impression que la vie est injuste ou dangereuse. Des blessures d’enfance, des trahisons, des pertes… autant de moments qui ont pu renforcer l’idée que “ça ne sert à rien d’espérer, de toute façon ça finit toujours mal.”


2. Un mécanisme de protection

Voir tout en noir peut être une manière inconsciente de se protéger. Si tu te dis que ça va mal finir, tu ne seras pas déçu(e), pas vrai ? C’est une stratégie (peu efficace, certes, mais humaine) pour éviter les nouvelles douleurs.


3. Des croyances héritées

Parfois, cette façon de voir la vie, on en “hérite”. Peut-être as-tu grandi dans un environnement où le pessimisme était la norme, où on te répétait que “la vie est dure”, “on n’a jamais de chance dans cette famille” ou “on ne peut pas faire confiance aux autres.”


4. Le poids des émotions non exprimées

Les blessures non guéries, les peurs et les colères que l’on garde en nous, tout cela finit par s’accumuler. Et à force, on finit par voir la vie à travers ce filtre sombre, sans même s’en rendre compte.


Une bonne nouvelle : tu n’es pas condamné(e) à rester comme ça


Ça, c’est la meilleure partie : peu importe ton passé, peu importe les raisons qui te poussent à voir tout en noir, tu as le pouvoir de changer. La posture de victime n’est pas une fatalité. Elle est un point de départ.


Par où commencer pour changer de regard ?


1. Reconnaître ton rôle dans ta vie

Sortir de la posture de victime, ce n’est pas nier les difficultés que tu as vécues. C’est reprendre le pouvoir sur ce que tu peux contrôler. Ce n’est pas de ta faute si tu as des blessures, mais c’est ta responsabilité de les guérir.


2. Identifier tes croyances limitantes

Demande-toi : Quelles sont les phrases que je me répète tout le temps ? Par exemple, “je n’y arriverai jamais” ou “les autres ont toujours plus de chance que moi”. Ces pensées, ce sont des habitudes mentales que tu peux déconstruire.


3. Exprimer ce que tu ressens

Parfois, ce qui nous maintient dans le noir, ce sont des émotions qu’on n’a jamais osé exprimer. Parler, écrire, pleurer, hurler si besoin. Libère ce qui est bloqué en toi.


4. Apprendre à voir le verre autrement

Tu n’es pas obligé(e) de devenir la reine/le roi du positivisme en une nuit. Mais essaie de voir les petites choses qui fonctionnent. Un sourire, une bonne tasse de café, un rayon de soleil… C’est une gymnastique, au début, mais ça devient vite naturel.


5. Te faire accompagner

Sortir de ces schémas, c’est difficile seul(e). Que ce soit avec un(e) thérapeute, un coach ou un groupe de soutien, il est essentiel d’être guidé(e). Et ça tombe bien, il y a des gens comme moi qui adorent t’aider à décoder tout ça et te donner des outils concrets.


Reprendre les rênes de ta vie


Changer de regard sur la vie, ce n’est pas prétendre que tout est parfait. C’est accepter que oui, il y a des difficultés, mais aussi des solutions. Que tu as le droit d’aller mieux. Que tu as le pouvoir de reprendre la responsabilité de ta vie et de te construire un avenir plus lumineux.


Alors, prêt(e) à commencer ce changement ? Parce qu’il suffit d’un premier pas pour ouvrir la porte à une autre réalité. Le verre n’est pas à moitié vide, il attend juste que tu le remplisses un peu plus.


Je suis Marina, sophro-thérapeute, et j’accompagne les femmes à retrouver confiance en elles, à améliorer leurs relations et à créer une vie plus sereine et alignée.


J’ai créé ÉMOTION'L, un programme de transformation sur 3 mois pour t’aider à comprendre tes émotions, à t’aimer sans condition et à vivre des relations plus apaisées.


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