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Qu'est-ce que l'acceptation et comment accepter ?

L’acceptation est essentielle pour retrouver l’état de bien-être, de bonheur, de santé, de prospérité. C'est une des clés essentielle que je transmets dans l'accompagnement complet " Les 5 clés de réalisation de Soi".

Il y a deux façons d’accepter qui font une différence : l’acceptation mentale et l’acceptation spirituelle :

  • Accepter mentalement consiste à être d’accord avec une situation et, en général, avoir la même opinion, ou quand on considère que c’est acceptable. On se base en général sur ce qu’on a appris par le passé pour décider si on accepte ou non.

  • La vision spirituelle d’acceptation se situe au niveau de l’être, au niveau du cœur, là où il n’y a ni bien ni mal, ni jugement d’aucune sorte.


Accepter ne veut pas dire "être d'accord", accepter c'est "laisser être" et avoir conscience de l'utilité de chaque rencontre ou évènement même lorsque c'est désagréable.

Accepter, c’est la capacité de donner le droit aux événements et aux personnes d’être ce qu’ils sont, de vivre toutes sortes d’expériences sans vouloir les changer ou changer la situation, même si on n’est pas d’accord.


Permettre aux gens d’être différents de soi, sans critique, ni jugement de valeur, tout en étant capable de bien se sentir à l’intérieur de soi indique également une attitude d’acceptation.

Permettre aux situations d'avoir un message, un sens, une utilité.


Le mental, n’étant que de la mémoire, ne peut pas gérer cette notion d’acceptation, car il se base avant tout sur ce qu’il a appris par le passé pour tirer toute conclusion, tandis que l’amour inconditionnel est toujours centré sur le moment présent.

C’est pourquoi le mental humain a de la difficulté avec la notion spirituelle d’acceptation.


Voici à titre d’exemple :

* un homme a agressé une personne.

Bien sûr, il est impensable (mentalement) d’être d’accord avec de tels événements extrêmes, mais accepter (spirituellement) se traduit par la capacité de donner le droit à toute personne d’avoir des comportements différents des nôtres, d’avoir une motivation que nous ne connaissons pas, d'avoir ses propres blessures, limites et croyances.

* une maman décède d'une longue maladie

Bien sûr, il est impensable (mentalement) d’être d’accord avec le décès d'un être cher, mais accepter (spirituellement) se traduit par la capacité de donner le droit à l'évènement d'exister, de constater, observer simplement ce qu'il vient provoquer en nous, donner le droit à cette personne d'avoir complété son cheminement dans le contexte qui lui était propre et de ne plus être là.


Accepter, c’est aussi permettre aux autres d’avoir des peurs, des limites, c’est-à-dire d’être humains tout en sentant la souffrance qu’une personne peut éprouver au moment où elle commet un tel acte ou lorsqu’elle perd le contrôle de ses actions.


Souvent, lorsqu’une personne reste incapable d’accepter une situation, si minime soit-elle, c’est qu’elle croit sincèrement que ce qui est arrivé n’était pas correct ou qu’il était mal d’avoir agi ainsi, ce qui lui fait vivre beaucoup d’émotions, en particulier de la frustration et de la colère.


Lorsque cela t’arrive, tes émotions peuvent devenir un indice précieux pour te rappeler qu’il est grand temps de réviser ton système de valeurs et tes croyances mentales si tu veux arriver un jour à devenir plus flexible, plus compatissant envers les gens et les circonstances.

En somme, c’est un excellent moyen pour devenir plus heureux et épanoui.


Accepter, c’est reconnaître que toutes les personnes touchées ou affectées par une expérience spécifique ont une leçon de vie importante à apprendre à travers celle-ci.


Te poser honnêtement la question suivante peut t’aider à accepter : « Si c’était mon fils ou ma fille qui avait commis un délit qualifié d’inacceptable, comment je le/la jugerais ? Comment je voudrais que les autres le/la jugent ? »

Remplace "Pourquoi ça m'arrive à moi" par "Qu'est-ce que ça vient m'apprendre" ?


Il est très important de te rappeler qu’accepter ne signifie pas nécessairement comprendre ou être d’accord avec la situation.


Souviens-toi que c’est l’acceptation totale de ce qui se passe qui crée l’ouverture du cœur et de l’abondance.


Si tu n’arrives pas à accepter malgré toute ta bonne volonté, ta croyance mentale ou ta douleur étant trop intenses, tu dois accepter le fait que, pour le moment, tu en es incapable. C'est OK.

Tu démontres ainsi une forme d’acceptation et une ouverture vers un mieux-être.

Il est recommandé d’expérimenter cette attitude d’acceptation dans les domaines les plus faciles pour toi pour commencer.

Dès le début, tu réaliseras que le fait d’accepter les personnes et les événements tels qu’ils se présentent produira dans ton être un sentiment de libération, ce qui ne veut pas dire que tu deviens indifférent ou soumis.

Juste accepter, lâcher prise.


Nous devons savoir également que tant et aussi longtemps qu’une expérience n’est pas vécue dans l’acceptation totale, c’est-à-dire sans jugement d’aucune sorte, sans accusation, sans culpabilité, sans regret, nous nous attirons les éléments nécessaires pour revivre la même expérience jusqu’à ce que nous devenions conscient des conséquences qui nous sont, soit nuisibles, soit bénéfiques.


Le manque d’acceptation des autres est aussi un outil très utile pour découvrir ce que nous n’acceptons pas de nous-même. Cet outil s’appelle l’approche du MIROIR : tu peux la découvrir ici


Si tu souhaites être accompagné.e pour découvrir cette notion et bien d'autres, contacte moi pour un premier échange gratuit, clique ici.


Marina Galant - SophroThérapeute

spécialisée en relation à soi et aux autres.


Source : certains passages sont extraits de l'enseignement de Lise Bourbeau, écoute ton corps et notamment du "Grand guide de l'Etre".


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