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Ce n’est pas de l’amour, c’est de la peur (et c’est plus courant qu’on ne croit).


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Et si ta dépendance affective ne se jouait pas là où tu crois ?


Quand on parle de dépendance affective, on pense souvent à une histoire d’amour : l’un des deux s’accroche à l’autre, incapable d’imaginer sa vie sans lui.

Mais la dépendance affective est bien plus subtile (et sournoise) que ça.

Elle peut se glisser dans ton travail, dans tes amitiés, dans ta famille, et même dans ta façon d’aimer tes enfants.


Dans le travail : la peur de “lâcher”


Tu sais, ce boulot que tu n’aimes plus vraiment, mais que tu gardes “par sécurité” ?

Celui où tu donnes tout, où tu veux prouver que tu mérites ta place, où tu t’épuises à être reconnu·e par ton boss ou tes collègues ?

Ce n’est pas qu’une question de carrière… c’est parfois une forme de dépendance affective.


Parce que derrière le salaire, il y a souvent le besoin d’être validé·e, utile, aimé·e.

Et quand on a longtemps manqué de reconnaissance, ce besoin devient un moteur… jusqu’à l’épuisement.

Alors on reste, même quand le corps dit stop.

On s’accroche, même quand l’âme crie “pars”.


Dans les amitiés : quand la loyauté devient une prison


Il y a aussi ces amitiés qu’on ne remet jamais en question, même quand elles nous vident de notre énergie.

Ces relations où l’on s’adapte, où l’on écoute beaucoup, où l’on donne trop.

On continue à répondre, à être présent·e, à “faire des efforts” pour ne pas décevoir.

Parce que quelque part, être aimé·e vaut plus que se respecter.


Et pourtant… l’amour vrai ne demande pas qu’on se plie en quatre.

Il naît quand chacun peut être soi, sans peur de perdre l’autre.


Dans le couple : rester par peur du vide


La dépendance affective se cache aussi dans le couple.

On reste, non pas parce qu’on est heureux, mais parce qu’on ne supporte pas l’idée d’être seul·e.

On préfère le connu à l’inconnu, même si le connu fait souffrir.

On se dit “je tiendrai encore un peu”, tout en s’éteignant doucement.


Et quand il y a des enfants, tout se complique.

Beaucoup repoussent la séparation par peur de la garde alternée, de “ne plus les voir qu’une semaine sur deux”.

Mais souvent, cette peur n’est pas liée aux enfants eux-mêmes : elle parle de notre propre vide intérieur, de cette part de nous qui s’effondrerait sans ce rôle de parent à temps plein.

Comme si notre valeur dépendait de notre utilité.


Dans la parentalité : quand aimer devient s’accrocher


Il y a cette maman (ou ce papa) qui se sent “inutile” quand les enfants grandissent.

Ce parent qui n’arrive pas à poser de limites par peur d’être rejeté.

Celui qui ne supporte pas l’idée qu’ils partent ou qu’ils s’éloignent.

Là encore, ce n’est pas un manque d’amour, c’est trop d’attachement à travers le prisme de la peur : peur du vide, peur d’être oublié, peur de ne plus servir à rien.


Mais aimer, ce n’est pas retenir.

C’est accompagner, puis laisser vivre.


D’où vient cette dépendance affective ?


La dépendance affective trouve souvent racine dans l’enfance.

Quand on a manqué d’amour, de sécurité, d’écoute, ou quand l’amour reçu était conditionnel (“je t’aime si tu es sage”, “si tu réussis”, “si tu rends service”).

Le cerveau apprend alors que pour être aimé, il faut faire, donner, plaire, s’adapter.


Et parfois, ce manque ne vient pas d’un désamour, mais d’un contexte :


  • une enfance où il fallait “être fort”,

  • un parent émotionnellement absent,

  • une fratrie où il fallait partager l’attention,

  • ou même une grande attente d’amour plus tard (difficulté à avoir un enfant, à obtenir un poste, à trouver sa place).


Dans ces cas-là, quand enfin on a ce qu’on attendait — un job, un enfant, une relation, une amitié précieuse — on s’y accroche avec toute notre peur de le perdre.

Parce que le manque ancien veille encore, silencieusement.


Et ce qui entretient le cycle…


Cette dépendance s’alimente de croyances limitantes comme :


  • “Je ne peux pas être heureux·se seul·e.”

  • “Si je pars, je fais du mal.”

  • “Je ne suis pas une bonne mère si je ne suis pas là tout le temps.”

  • “Je dois mériter ma place.”


Ces croyances deviennent des vérités intérieures, et nous empêchent d’écouter nos besoins réels.

On confond l’amour avec le besoin d’exister à travers l’autre.

Et c’est là que le corps commence à parler :

fatigue, tension, anxiété, insomnie, irritabilité…

Autant de signaux qu’il est temps de se recentrer sur soi.


Et si tu t’écoutais enfin ?


Sortir de la dépendance affective, ce n’est pas aimer moins.

C’est aimer plus librement.

C’est te permettre d’être complet·e, même sans le regard de l’autre.

C’est redonner de la place à tes besoins, à ton corps, à ta vérité.


En sophro-thérapie, on vient ramener la conscience dans le corps pour décoder ce qui bloque, identifier les croyances inconscientes, et surtout libérer les émotions enfouies.

Parce que le mental veut comprendre, mais le corps, lui, sait déjà.


Et si c’était le moment de te choisir ?


Si tu te reconnais dans ces mots — si tu sens que tu t’accroches à un lien, un rôle ou une situation qui t’épuise — je te propose une séance d’1h30 pour :


  • identifier d’où vient ta dépendance affective,

  • comprendre ce que tu redoutes vraiment de perdre,

  • et libérer ce qui t’empêche d’écouter ton besoin profond de liberté.


Une séance où l’on mêle décodage verbal et travail corporel, pour t’aider à retrouver ton axe, ta paix intérieure, et cette confiance tranquille en toi.


Parce que tu n’as pas besoin d’être indispensable pour être aimé·e.

Tu as juste besoin d’être toi.


Prends rendez-vous pour un appel clarté offert, et ensemble, on fera la lumière sur tout ça.


Je suis Marina, sophro-thérapeute, et j’accompagne les femmes à retrouver confiance en elles, à mieux gérer leurs émotions et à créer des relations plus apaisées.


J’ai créé ÉMOTION'L, un programme de transformation sur 3 mois qui t’apprend à comprendre, apprivoiser et libérer tes émotions pour enfin t’aimer sans condition et arrêter de te laisser diriger par les peurs et les jugements extérieurs.


Si tu veux en savoir plus, je t’invite à réserver un appel clarté offert. On pourra échanger sur ta situation et voir comment je peux t’aider à avancer sereinement. 💛

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Marina Galant

Sophrothérapeute spécialisée en bien-être émotionnel et relationnel

Biarritz - Bayonne - Anglet - Visio

Sophrologue - Coach de Vie



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